Pour 89 % des intervenantes de la Fondation Olo, les problématiques observées chez les femmes et chez les familles sont plus complexes depuis le début de la pandémie qu'auparavant. Aussi, 92 % des intervenantes ont noté une hausse de l'essoufflement parental, mais aussi une augmentation des problématiques de santé mentale (88 %), de l'absence de réseau de soutien (82 %) ou encore de l'insécurité alimentaire (76 %). Selon le sondage, 58 % des intervenantes ont affirmé que les familles ont aujourd'hui de moins bonnes habitudes alimentaires qu'avant la pandémie. Une chercheuse au CHU Sainte-Justine indique qu’en raison des changements hormonaux et sociaux, la période périnatale peut rendre les femmes plus vulnérables sur le plan de la santé mentale et elles peuvent montrer des symptômes de dépression ou d'anxiété. L’augmentation de l’insécurité alimentaire peut avoir un impact sur la santé mentale, rappelle le rapport, alors qu’une saine alimentation contribue au bien-être.
Une fondation au Qc s’inquiète de l’impact de la pandémie sur les femmes enceintes et défavorisées
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novembre 22, 2021