Il explique qu’il a dû tout d'abord soumettre une candidature au Service national d’évaluation infirmière (SNEI), un organisme fédéral à but non lucratif. Il a dû demander à son école et à ses précédents patrons d’envoyer des dossiers directement au SNEI, un organisme basé à Philadelphie, avec lequel la SNEI a contrat de sous-traitance. La CGFNS (Commission on Graduates of Foreign Nursing Schools) a refusé la plupart des courriers du dossier. Dans les deux dernières années, 78 candidats ont réussi à obtenir un rapport de la SNEI pour une immatriculation au N.-B. et seulement 23 ont décidé de poursuivre leur demande auprès de l’AIINB. Ils ont dû passer une deuxième évaluation personnalisée en N.-É. La plupart se sont vus prescrire un cours de rattrapage par le biais d’un stage et passer l’examen NCLEX. L’homme souhaite que ses homologues étrangers n’échouent pas, comme lui, dans sa tentative d’exercer ses compétences infirmières dans la province.
Un jeune infirmier diplômé en France explique son parcours difficile pour exercer son métier au N.-B.
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septembre 13, 2019