Un jeune infirmier diplômé en France explique son parcours difficile pour exercer son métier au N.-B.

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septembre 13, 2019

Il explique qu’il a dû tout d'abord sou­mettre une can­di­da­ture au Ser­vice na­tio­nal d’éva­lua­tion in­fir­mière (SNEI), un or­ga­nisme fé­dé­ral à but non lu­cra­tif. Il a dû de­man­der à son école et à ses pré­cé­dents pa­trons d’en­voyer des dos­siers di­rec­te­ment au SNEI, un or­ga­nisme ba­sé à Phi­la­del­phie, avec le­quel la SNEI a contrat de sous-trai­tance. La CGFNS (Com­mis­sion on Gra­duates of Foreign Nur­sing Schools) a re­fu­sé la plu­part des cour­riers du dos­sier. Dans les deux der­nières an­nées, 78 can­di­dats ont réus­si à ob­te­nir un rap­port de la SNEI pour une im­ma­tri­cu­la­tion au N.-B. et seulement 23 ont dé­ci­dé de pour­suivre leur de­mande au­près de l’AIINB. Ils ont dû pas­ser une deuxième éva­lua­tion per­son­na­li­sée en N.-É. La plu­part se sont vus pres­crire un cours de rat­tra­page par le biais d’un stage et pas­ser l’exa­men NCLEX. L’homme souhaite que ses homologues étrangers n’échouent pas, comme lui, dans sa tentative d’exercer ses compétences infirmières dans la province.

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