Un Canadien sur quatre durement affecté psychologiquement par la pandémie

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avril 23, 2020

L’enquête sur les impacts psychosociaux liés à la pandémie menée par l’Université de Sherbrooke révèle que le quart des répondants présentent des symptômes significatifs de stress post-traumatique et d’anxiété. La chercheure principale avoue que c’est du jamais vu. Présentement, elle ne peut faire de lien avec aucun fait passé et elle dit qu’il sera capital de suivre l’évolution de ces impacts psychologiques au fil des prochaines semaines et d’adapter le soutien offert en conséquence. Normalement, explique-t-elle, ce n’est pas pendant la catastrophe qu’on vit le pire sur le plan psychologique, mais après. Ainsi, elle croit que le temps et l’aide psychologique seront importants dans le rétablissement de la population et que les ressources habituelles ne seront pas suffisantes. Elle explique qu’il faudra des actions communautaires pour aller chercher davantage de gens affectés, comme on a fait après la tragédie de Lac-Mégantic avec des équipes de proximité.
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