Les répondants dont la santé mentale était la plus affectée par la pandémie utilisaient deux fois plus de services de visionnement en continu comme Netflix. Selon le sondage effecuté à l'échelle mondial, les femmes étaient deux fois plus susceptibles d’augmenter leur consommation de réseaux sociaux pour contrer le stress de la pandémie. Pour leur part, les moins de 35 ans préféraient les jeux vidéo. Les chercheurs ont aussi vu que dans certains cas, les répondants évitaient certaines sources d’information à l’écran si ces informations étaient négatives ou controversées ou de nature complotiste. Sur 130 pays sondés, 93 ont fait état de graves perturbations dans les services spécialisés en santé mentale. Et si 83 % des pays sondés ont réservé des fonds à la santé mentale dans les plans de sauvetage anti-COVID-19, seulement 17 % ont accordé les sommes jugées nécessaires. Les gens intéressés peuvent toujours participer au sondage.
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L'Université Concordia établi un lien entre le stress du confinement et le temps devant les écrans
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octobre 07, 2020