L’Institut national de la recherche scientifique (INRS) a sondé la population de Montréal au sujet des habitudes alimentaires, ce qui a permis de dégager trois grands profils: une alimentation caractérisée par une forte consommation de fruits, de légumes et de protéines végétales; un modèle occidental salé et alcoolisé qui comprend plus de viandes et de boissons comme la bière et le vin; et un modèle occidental qui se distingue par une forte consommation de pâtes, de pizzas, de desserts sucrés et de boissons gazeuses. Sans surprise, l’alimentation saine a été associée à une diminution du risque de cancer de la prostate, tandis que le modèle occidental avec sucreries et boissons a été associé à un risque plus élevé et il semble favoriser des cancers plus agressifs. L’analyse n’a montré aucune association claire entre l’alimentation occidentale avec sel et alcool et le risque de développer la maladie.
L’INRS associe certaines habitudes alimentaires à un risque plus important de cancer de la prostate
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juillet 29, 2020