Les activités du département du programme provincial de don d'organes ont été mises en pause entre les mois de mai et juin en raison de la pandémie. Ainsi, on craint que les chiffres sur le taux de dons d'organes puissent avoir été faussés. Pour sa part, le directeur médical du programme ne peut prédire jusqu'à quel point la pandémie peut avoir influé sur les données, mais il est d’avis que les chiffres préliminaires étaient en forte hausse en début d'année. Le médecin s'interroge également au sujet de la sensibilisation en se demandant si davantage d'éducation est nécessaire auprès du public. Alors qu’il est difficile de déterminer si la mesure a eu un véritable impact, plusieurs provinces observent ce dossier de près. Le Man. étudie la possibilité d'adopter la règle de consentement implicite et des démarches semblables sont évoquées au Qc, en Ont. et en Alb. Environ 50 000 personnes, soit quelque 5 % de la population de la N.-É., auraient signalé leur refus de consentement au registre provincial.
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L’impact du consentement implicite aux dons d’organes en N.-É. toujours méconnu
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décembre 07, 2021