L’Institut de recherche de CHEO a étudié (anglais seul.) des facteurs susceptibles d'affecter la santé respiratoire dans les communautés autochtones du Nord de l'Ontario. L'étude a révélé des niveaux élevés de moisissure et d'endotoxine causés par des bactéries associées à la respiration sifflante. La qualité de l'air des maisons, la concentration d'acariens et les contaminants de la fumée de combustion du bois ont aussi été analysés. Les résultats ont démontré une ventilation inadéquate dans 85 % des maisons, les fenêtres étaient endommagées dans la moitié des maisons, 44 % présentaient des infiltrations d'eau dans les murs alors que 6 % présentaient des problèmes de sécurité. Le chercheur principal rappelle que 21 % des enfants de l'étude ont été admis à l'hôpital au cours des deux premières années de leur vie et qu'un quart ont dû être évacués en raison d'une maladie respiratoire.
Aussi:
Poor housing conditions linked to respiratory health issues in young First Nations children - CHEO
Les logements inadéquats liés à des taux élevés de maladies respiratoires chez les enfants autochtones
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janvier 24, 2022