Il s’agit d’une des conclusions à laquelle arrive une professeure de l'Université de Moncton. La chercheuse en gestion des services de santé a mené des entretiens avec 45 infirmières, dont certaines ont quitté le réseau, dans le cadre d’une étude sur la rétention du personnel médical au Réseau de santé Vitalité. Le piètre environnement de travail chez Vitalité a souvent ressorti lors de ces entretiens. Pour les gens qui ont choisi de partir, ces relations étaient décrites comme étant soit tendues ou pas très saines. Le sondage dévoile qu’un climat de méfiance s'était installé entre collègues et la collaboration se faisait beaucoup moins bien. Selon la professeure, l'environnement de travail est très important à la rétention des travailleurs de la santé et la reconnaissance du travail accompli, l'accompagnement des recrues, l’autonomie et la gestion moins centralisée des conflits doivent faire partie des solutions.
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L'environnement de travail identifié comme obstacle majeur à la rétention au Réseau de santé Vitalité
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septembre 21, 2022