Le lieu de résidence un indicateur de risque du cancer de la peau

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juin 21, 2022

C’est à l’Î.-P.-É. et en N.-É. que l’on trouve les taux d’incidence du mélanome les plus élevés, même lorsqu’une correction est apportée pour tenir compte d’autres facteurs comme l’âge. L'étude (anglais seul.) de McGill révèle qu'au N.-B., en Ont. et en C.-B., les taux d’incidence sont également élevés, mais semblables à la moyenne nationale annuelle de 20,75 cas pour 100 000 habitants, tandis que dans les prairies les taux sont inférieurs à la moyenne canadienne. Les chercheurs ont également constaté que :

  • Les taux d’incidence du mélanome étaient plus élevés chez les hommes que chez les femmes, soit environ 54 % contre 46 %; et
  • Les taux d’incidence du mélanome sont également supérieurs chez les personnes âgées de plus de 60 ans.

Bien que le taux d’incidence du mélanome soit en hausse, le taux de mortalité est en baisse pour la première fois depuis 2013, probablement dû aux nouveaux traitements d’immunothérapie ciblés. Les chercheurs rappellent que le risque de contracter un cancer de la peau est lié à l’âge, mais que le nombre de coups de soleil attrapés pendant l’adolescence, la vingtaine et la trentaine fait également partie des facteurs.

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