L’activité physique chez les jeunes garçons réduit les symptômes de détresse émotionnelle plus tard dans leur vie

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septembre 28, 2021

Des chercheurs de l'Université de Montréal indiquent (angl. seulement) que les garçons actifs physiquement dans leur petite enfance ont une meilleure santé mentale quelques années plus tard et sont plus susceptibles de demeurer actifs physiquement au début de l'adolescence. De plus, on révèle que les garçons étaient moins à risque de présenter en grandissant des symptômes de dépression et d'anxiété. Plus précisément, les garçons qui participent à des activités physiques à la petite enfance (cinq ans) ont une meilleure santé mentale quand on les compare aux garçons qui ne participaient pas à des activités physiques. Les chercheurs croient que la pratique d'activités physiques à l'âge préscolaire pourrait aider les garçons à acquérir des aptitudes de vie quotidienne telles que la prise d'initiative, le travail d'équipe et la maîtrise de soi. Leur message pour les parents n’est pas de faire participer leurs enfants à des sports cinq fois par semaine. Ils suggèrent qu’une randonnée en montagne ou une sortie en vélo fait très bien l'affaire.
Aussi:
Early childhood exercise improves boys' mental health: Montreal researchers - Montreal Gazette

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