Le rapport qui date de l'automne dernier montre que la pénurie de personnel au Centre hospitalier Restigouche (CHR) a un impact sur les soins que reçoivent les patients. En septembre 2018, le personnel du CHR était réduit au point que les patients n’ont pas reçu de thérapie 64% du temps (psychothérapie, psychologie, etc.) Un mois plus tôt, en août 2018, l’institution n’était pas en mesure d’offrir de thérapie 68% du temps. Pendant cette période, les patients se sont retrouvés dans des situations où les soins infirmiers n’étaient pas complétés près de 40% du temps. Ces soins incluent l’évaluation du patient avant et après la prise de médicaments. Le PDG du Réseau de santé Vitalité, Gilles Lanteigne, maintient que les patients ne sont pas en danger. Il explique que même si les patients ne reçoivent pas de thérapie, le psychiatre peut être présent et les patients prennent quand-même leurs médicaments.
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